Palais archiépiscopal de Toulouse en Haute-Garonne

Patrimoine classé Patrimoine religieux Palais archiépiscopal

Palais archiépiscopal de Toulouse

  • Place Saint-Étienne
  • 31000 Toulouse
Palais archiépiscopal de Toulouse
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Crédit photo : Traumrune - Sous licence Creative Commons
Propriété du département

Période

4e quart XVIIe siècle, 1er quart XVIIIe siècle

Patrimoine classé

Façades et toitures des bâtiments en U autour de la cour d'honneur, y compris le grand porche d'entrée et ses ailerons latéraux ainsi que la Porte Charles de Montchal (1640) fermant l'impasse ; façades sur cour intérieure et sur place Saint-Etienne, et toitures correspondantes de l'ancien hôtel Ducos de Lahitte annexé à la Préfecture au cours du XIXe siècle, ainsi que les deux travées de l'immeuble coiffé en poivrière qui lui est accolé ; façades et toitures des bâtiments des anciens communs (première cour à gauche après la cour d'honneur) ainsi que de l'aile perpendiculaire sur jardin ; porte XVIIe siècle de l'ancien hôtel de Ricard, réédifiée dans le jardin ; façade et toiture correspondante du bâtiment Louis XVI situé n°s 7 à 13 rue Saint-Jacques ; à l'intérieur, au fond de la cour d'honneur : grand escalier central et, au rez-de-chaussée : salle des gardes, ancienne salle à manger (salon à miroirs et colonnes) , trois grands salons Louis XVI sur jardin (cad. AC 268, 301, 302) : inscription par arrêté du 1er octobre 1990, modifié par arrêté du 17 octobre 1990

Origine et histoire du Palais archiépiscopal

L'ancien palais archiépiscopal de Toulouse, situé place Saint-Étienne, est l'ancien logement des archevêques et abrite aujourd'hui l'hôtel de la préfecture de la Haute-Garonne. Après avoir vécu avec leurs chanoines dans l'enceinte du cloître, les archevêques établirent leur résidence au-delà de la tour Mascaron. Bâti du XIVe au XVIe siècle, le premier évêché est détruit à la fin du XVIIe siècle puis reconstruit en 1691 ; de cette campagne subsiste l'aile perpendiculaire, dotée d'oculi côté jardin, qui comprenait une chapelle au premier étage. La reconstruction se poursuit en 1693 sous la direction de l'architecte d'Aviler, qui organise le plan en U autour d'une cour centrale, configuration encore lisible aujourd'hui. À partir de 1776, l'architecte Jean-Arnaud Raymond exécute le bâtiment situé entre les nos 7 et 13, destiné à recevoir la « chambre souveraine du clergé » et les archives diocésaines. À la fin du XIXe siècle, un hôtel particulier donnant sur la rue Fermat, qui conserve des vestiges du XVIIe siècle et appartenait alors à la famille du Cos de la Hitte, est annexé au palais pour l'extension de l'hôtel de la préfecture. Le palais est inscrit au titre des monuments historiques par arrêtés des 1er et 17 octobre 1990.

Liens externes